Face à Christophe Boisbouvier, le porte-parole des Démocrates a exprimé sa tristesse et son inquiétude pour l’avenir politique du pays. « Ce qui se passe, ce n’est pas la démocratie », a-t-il insisté, rappelant le précédent de 2021, où plusieurs opposants, dont Reckya Madougou et Joël Aïvo, avaient été écartés ou emprisonnés.
Pour Guy Dossou Mitokpè, l’enjeu dépasse la présidentielle de 2026 : il s’agit de restaurer les libertés politiques et de permettre le retour des exilés et la libération des détenus politiques. « Nous continuerons le combat pour ramener la démocratie à sa juste valeur », a-t-il conclu, dans un ton grave, mais déterminé.